Les CIDFF accompagnent les femmes victimes de toutes les formes de violences : violences physiques, sexuelles, psychologiques, administratives, économiques, cyberviolences…
98 CIDFF sont présents sur l’ensemble du territoire national et dans les territoires ultramarins. Ils animent également des permanences dans des lieux d’information de proximité en milieu urbain et rural.
Pour toutes les femmes victimes de violences.
Il s’agit d’une cyberviolence, également connu sous le nom de “revenge porn”, qui consiste à filmer ou prendre des photos pendant un acte sexuel et menacer de les diffuser. La loi vous protège contre les violences en ligne et condamne l’enregistrement, la diffusion ou la menace de diffusion d’une photo ou vidéo à caractère sexuel d’une personne sans son consentement.
Les CIDFF sont là pour vous écouter, vous informer sur vos droits et vous accompagner selon vos besoins et votre situation.
Le fait d’envoyer des messages malveillants à répétition entraînant une dégradation des conditions de vie de la victime est une forme de harcèlement moral. Ce comportement qui est puni par la loi, quels que soient les rapports entre l’auteur et la victime, qu’il s’agisse d’un couple marié ou non.
Le fait d’imposer un rapport sexuel à son ou sa partenaire, même dans le cadre du mariage, est une infraction pénalement répréhensible ; il s’agit d’un viol.
Des dispositifs existent pour protéger les femmes victimes de violences conjugales.
Les CIDFF sont là pour vous écouter, vous informer sur vos droits et vous accompagner selon vos besoins et votre situation.
Tout agissement lié au sexe d’une personne, ayant pour objet ou pour effet de porter atteinte à sa dignité ou de créer un environnement intimidant, hostile, dégradant, humiliant ou offensant est puni par la loi ; il s’agit d’un agissement sexiste.