#NeRestePasSeule

Lutter contre les violences sexistes et sexuelles » dans l’enseignement supérieur

Afin de lutter contre les violences sexistes et sexuelles » dans l’enseignement supérieur, nous relançons aujourd’hui notre campagne de prévention et de sensibilisation aux violences étudiantes #NeRestePasSeule. Il n’est plus possible d’ignorer ces violences auxquelles sont confrontées les étudiantes de notre pays, elles constituent une discrimination intolérable, qui influe directement sur les vies et les carrières de ces jeunes femmes.

 

Pour lutter contre ce fléau, il faut renforcer les actions de prévention auprès des élèves et personnel des établissements, et renforcer les partenariats avec les associations spécialisées. Celles-ci disposent d’équipes professionnelles pluridisciplinaires (juristes et psychologues) formées pour l’information et l’accompagnement des femmes victimes de violences sexistes et sexuelles.

Afin de participer à la prévention de ces violences et protéger les victimes, la FNCIDFF et les 98 CIDFF lancent la campagne de sensibilisation intitulée #NeRestePasSeule. Cette campagne s’adresse principalement aux étudiantes et plus largement à tou·tes les acteur·rices de l’enseignement supérieur : professeur·es, assistant·es sociaux·ales, psychologues,référent·es égalité, personnel, etc. Elle vise à dénoncer à travers quatre visuels les différentes formes de violences subies par les étudiantes : harcèlement sexuel, cybercontrôle, agressions sexuelles et viol. Elle rappelle la manière dont la loi protège chaque étudiante. Enfin, elle incite les victimes à demander de l’aide auprès de la cellule d’écoute de l’établissement et/ou auprès du CIDFF le plus proche.

Afin de participer à la prévention des violences sexistes et sexuelles étudiantes et protéger les victimes, la FNCIDFF lance une campagne de sensibilisation intitulée #NeRestePasSeule. Cette campagne s’adresse principalement aux étudiantes et plus largement à tous les acteurs et actrices de l’enseignement supérieur : professeur·es, assistant·es sociaux·ales, psychologues, référent·es égalité, personnels, etc.

Découvrez notre communiqué de presse

Contact : presse@fncidff.fr

 

Le harcèlement sexuel est puni de 2 ans d’emprisonnement minimum et de 30 000 € d’amende.

L’agression sexuelle est punie de 5 ans d’emprisonnement et de 75 000€ d’amende.

Le viol est puni de 20 ans de réclusion criminelle.   

Le cyberharcèlement est un délit et une circonstance aggravante du harcèlement moral. Lorsque l’auteur est majeur et que la victime a plus de quinze ans, il risque jusqu’à 2 ans d’emprisonnement et 30 000 euros d’amende.